[ FANFICTION] Changement dans l'histoire.

Oohh j'oubliai, nous somme en - 73 et nous sommes à Rome. Je m'appelle Julia Gaïa Césaria. Césaria parce que je suis la fille adoré du grand et puissant Caius Julius César et de Cornelia Cinna...



nous vivons dans une grande maison et je cours,cours dans la maison pour arrivé plus vite possible à l'entrée de la maison, mon père part et je ne veux pas le loupé, je veux lui dire ce que je me répète depuis ce matin..

Julia ( arrivant en courant) : Père! Père! Attendez!
( sautant dans ses bras) : Resté à la maison pour une fois. Je vous en pris. Je vous vois si peu.
César ( se retournant, souriant, et rattrapant sa fille) : Je ne peux pas tendre enfant, j'ai des choses à faire au sénat. Je te promet de ne pas rentré trop tard et nous lierons ensemble.
Julia : Père, vous dites cela chaque jours et chaque jours, vous rentrez épuisé de votre journée.
César ( posant sa fille au sol) : C'est exact et j'en suis désolé ma douce Julia.

Un baiser sur ma joue et le voilà parti...



10 ans passent et nous sommes maintenant en -63, j'ai grandit, je ne suis plus une enfant mais une jeune fille de vingt ans. Pas très grande, blonde et tout le monde dit que je ressemble à mon père ce que je ne crois pas mais si les gens en sont convaincu..je ne peux me résigné qu'à les écouté. Nous nous sommes installé dans une nouvelle maison, elle ne me plait pas, j'aimais l'ancienne c'était la maison de mon enfance. Mais je ne donne pas mon avis ne voulant pas manqué de respect à mon père. Il a fait tellement de chose depuis mes 10 ans que je ne serais résumé. En tout cas, la dernière choses qu'il a fait ou plutôt décision qu'il a prise ces de me donné en mariage à pompé et il la fait..je le suis depuis mes 18 ans. Un vieux bonhomme de 40 ans que je n'aime pas mais je penses que je lui ai été donné pour une question de politique. Il était un bon époux, un homme très gentil mais l'amour..



Oui je connais l'amour mais pas avec lui...



Depuis qu'il est au côtés de mon père, je ne peux m'empêchai de rêver de lui, de le regardait quand il est là, de l'admiré quand il passe sur son cheval, de lui sourire quand il me sourit..de l'aimer tout simplement.C'est un coup de foudre. Oui ces vrai il est plus vieux que moi mais je m'en fiche, je suis amoureuse de lui et vous voulez que je vous avoue quelque chose ? Il m'aime aussi. A vrai dire il me la avouer après m'avoir.

A vrai dire il me la avouer après que nous ayons échangé un baiser tendre et passionné à la fois au détour d'un couloir après un banquet, je n'ai rien fait, ces lui qui ma rattrapé. Je ressens encore la sensation.

Marc Antoine (ses mains posées de chaque côté du visage de Julia ): Je vous aimes Julia, depuis le premier jours que je suis aux côté de votre père. Chaque jours est une nouvelle torture de vous voir au bras de cette homme. Je sais bien ce que vous devez pensé de moi, mais je peux ne pas être l'homme que les paroles décrivent.
Julia ( ne le lâchant pas des yeux, posant ses mains sur les siennes) : Je ne penses rien de vous .Comment pourrais je me faire une opinion d'un homme que je ne connais pas? Vos paroles sont si douce, votre regard à mon encontre et si tendre. Je vous aimes Marc Antoine. Depuis si longtemps que je n'arrive pas à imaginer que ce moment n'est pas un rêve.
Marc-Antoine : Ces bizarre pour un homme comme moi de dire que j'avais peur que mes sentiments ne soient réciproque et vous n'imaginez pas le bonheur que vous me faites. Divorcez et Épousez moi Julia.
Julia ( le repoussant doucement) : Je ne peux pas Antoine..Mon père ne l'acceptera pas même si ces pour vous.
Marc Antoine ( se rapprochant d'elle): Alors aimons nous en secret! Je ne supporterais de vous voir chaque jours en sachant nos sentiments réciproque et de ne pas pouvoir vous aimez comme je le voudrais..
Julia ( regardant autour d'elle, plongeant ses yeux dans les siens) : Retrouvons nous chez moi. Pompé ne sera pas là, il sera certainement au banquet que donne Aénobarbus. Ce soir quand le soleil sera couché.
Marc Antoine : Très bien, je serais là.

Un dernier baiser et nous voilà parti dans une relation qui dure depuis bien deux ans nous vivons caché de tous. Je souffre comme il souffre. Imaginez donc la réputation de Pompé si on venait à savoir que sa femme le trompé avec un général romain, il est important à Rome, important pour mon père, important dans chaque pays..

Marc Antoine...mon amour, mon tendre amant..qui a dit qu'il était cruelle avec les femmes alors qu'il fait preuve d'une tel douceur avec moi. Dans sa façon de me tenir dans ses bras, dans la façon de m'embrassai, de me faire l'amour..dans sa façon de m'aimer.

Malheureusement je suis obligé de remplir mes devoirs d'épouse. Je suis tombé enceinte..de lui..de Pompé et je les dis à Marc Antoine..il a souffert encore plus qu'avant et je m'en suis tellement voulu.



Julia ( retrouvant Antoine au fontaines de chez elle) : Je t'ai demandé de venir car j'ai quelque choses à te dire, j'ai terriblement peur de te l'avouer car je sais que tu souffriras encore plus que tu ne souffre maintenant.
Marc Antoine ( inquiet) : Julia, que ce passe t-il ? J'accepterais tout ce que tu me diras. Tu le sais. Si tu veux que nous arrêtions de nous voir, je comprendrais..
Julia ( regardant l'eau dans la fontaine) : Non Non..bien sur que non..je ne veux pas arrêté. Quand nous sommes marié à des hommes même sans amour nous nous devons d'être de bonne épouse et ces ce que j'ai fait. Antoine..Je suis enceinte..
Marc Antoine ( se laissant tombé comme une masse) : ….
Julia ( se levant, posant ses mains sur ses joues) : Pardon mon tendre amour de te faire souffrir comme cela, si tu savais comme je m'en veux de te faire subir une telle douleur. Je t'aime tant..J'aurais tant aimé que cet enfant soit le tien pour que Pompé ne l'accepte pas et demande le divorce..
Marc-Antoine : Tout cela n'aurait apporté que des disputes et des mauvais commentaires aux oreilles de ton père. Laisse cet enfant grandir en toi, je serais faire avec et t'aimer comme je t'aime maintenant même si mon cœur est brisé en mille morceaux.

Nous avons continué à nous voir, à nous aimait, Pompé commençant à avoir des soupçons sur notre relation avait commencé à me faire suivre jusqu'au jours ou je perdis les eaux et en donnant naissance à mon enfant, j'ai laissé la vie et ce petit être n'eut pas le temps de commencé la sienne dans ce nouveau monde.

Quand Julia décéda, Jules César était en gaule près à combattre Vercingétorix. Quand il apprit la nouvelle il fut anéanti et ne pu fêter la victoire de la veille.

Marc-Antoine (arrivant dans la tante) : Tu ne viens pas fêté la victoire , tes hommes t'attendent.
César ( regardant le sol, la mine triste) : Je n'ai pas le cœur à cela.
Marc Antoine ( perdant son sourire) : Que ce passe t-il ?
César lui tendit la lettre sans quitté le sol des yeux. Antoine prit la lettre et la lu.

Un autre homme venait d'être brisé. Il apprenait la mort de sa bien aimée sur un bout de papier. Il n'avait pas eu le temps de lui dire encore une fois combien il l'aimait.

Cesar(regardant le sol) : Je sais qu'elles étaient les liens qui te lié à Julia. Je les compris petit à petit. A chaque fois que vos regards se rencontré, il y avait cette flamme. Elle t'aimait Antoine. Plus qu'elle n'aimait personne d'autre, plus qu'elle ne m'aimait moi. Je les vu te regardé avec temps de passion quand nous partions à cheval. Et toi l'aimais tu comme elle t'aimait ?
Marc-Antoine ( le regardant surpris de la question) : Oui, César! J'aimais ta fille comme elle m'aimait. Je voulais l'épousé. Elle ne pouvait pas. Elle était marié. Elle le voulait César, Julia voulait être mon épouse mais elle ne voulait pas parce que tu n'accepterais pas grand César.
Cesar ( s'en voulant de ne pas avoir réagit avant) : Je l'aurais accepté Antoine. Tu n'étais pas n'importe qui. Pardonne moi mon ami d'avoir été aveugle de vos sentiments réciproque. Aujourd'hui, malheureusement, je ne peux plus rien faire.
Marc Antoine ( sortant son glaive) : Tu peux faire quelque choses. Donne moi le droit d'aller la rejoindre auprès des dieux. Je suis sur qu'elle doit avoir peur là haut toute seul, laisse moi aller la protéger et la rassuré.
César ( rebaissant la tête) : Je ne peux pas te donné ce droit Antoine. Tu es mon meilleur général, le meilleur conquérant que je connaisse et tu es mon ami. Si tu t'en vas à ton tour qui me restera t-il?
Marc Antoine : Ta femme César. Cornelia. Elle sera à tes côtés pour veillé sur toi.
César ( ne lâchant pas le sol du regard et se levant et tandis la main à Antoine pour serré la sienne) : Cette décision aurait pu me déchiré le cœur si il ne l'était pas déjà. Protège là, aimez vous et nous nous reverrons. J'expliquerais ton geste au sénat. Ils comprendrons et si ils ne comprennent....
Marc Antoine (lui serrant la main ) : Une dernière demande, brûle mon corps en même temps que celui de Julia..
Cesar : Je le ferais Antoine..
Marc Antoine : Adieu César..
César : Non...au revoir mon ami.

Antoine se leva, glaive à la main et défit son armure, il regarda César une dernière fois, qui tourna la tête pour ne pas à voir cette scène dans sa tête toute sa vie, et sans hésité planta le glaive dans son estomac. S'écroulant dans les bras de César et celui ci regardant son ami mourir en versant des larmes. Il se pencha et déposa un baiser sur son front et puis un autre en lui disant de le donné à Julia quand il sera à ses côtés. César retira le glaive et Antoine dégagea son dernier souffle. César sorti et annonça le décès d'Antoine. Il expliqua à chaque homme qu'Antoine c'était tué par amour pour Julia, sa fille. Antoine fut acclamé par certain, hais par d'autre. Ils rentrèrent à Rome portant la dépouille d'Antoine, exposé à la vue du peuple dans lequel régné un silence. Julia était allongé sur une pierre dans une robe blanche des lys dans les cheveux, l'enfant posait sur son ventre dans un linge blanc et Antoine fut déposé à ses côtés,dans une tunique blanche et grise comme une famille endormit. Pompé suivit la scène sans réagir. Il avait comprit avant qu'elle ne meurt, qu'ils s'aimaient. Leur corps fut brûler le soir même.

Quelques temps plus tard, César continua ses conquête sans pour autant oublié Antoine et Julia. Pompé ce suicida quelques après les funérailles. Jules César rencontra Cléopâtre et ils tombèrent amoureux après qu'il les aidait. Ils eurent Césarion. César décida de ne pas rentré à Rome et resta auprès de Cléopâtre et de leur enfant...Une guerre ce déclara entre Rome et L'Égypte. Qui à gagné?...L'Égypte.

Si cela était arrivé comme ça ? Que serait notre monde maintenant ?


Fin