Je vous crache à la figure ! [Ptolémée]

Invité

Eirlys, désormais employée comme esclave publique de la ville de Rome, était aujourd'hui envoyée dans un commerce de poterie pour assurer la navette entre l'artisan et son étal sur le marché. C'était un travail harrassant qui demandait des centaines d'allers et retours par jour, aujourd'hui sous une chaleur cuisante. La jeune gauloise, habituée au climat plus doux de son village natal, était épuisée, et maudissait tous les dieux, qu'ils soient romains ou gallois, de l'avoir ainsi réduite à l'esclavage, et par la même occasion, tous les nobles romains, et bien sur, César. Et puis, tant qu'ele y était, tous les nobles de la Terre qui employaient des esclaves.
Elle effectuait son trente sixième retour de la matinée, plusieurs pots en terre invendus en équilibre sur la tête, quand un char de style égyptien traversa la rue de terre juste après elle, faisant en sorte qu'elle se retrouve par terre, les marchandises brisées tout autour d'elle, sanguinolante et endolorie.
La jeune esclave resta quelques secondes à terre, puis, de rage, se relevant, elle regarda le char, dévisagea son conducteur, le regardant éfrontément dans les yeux, et, voyant, que cette personne, de part ses vêtements et son allure, était un noble, lui cracha à la figure, sur un coup d'énervement, s'enfuyant aussitôt dans les rues jusqu'à la boutique où elle devait travailler.

Ptolémée avait rallonger son voyage le temps que Caius soit en Gaule pour des affaires de politique. Il etait rester très proche de la famille romaine qui l'avait acceuillit un soir, depuis il allait osuvent voir la famille et meme des journée il gardait le petit bout de la famille. Il adorait lui raconter des histoires egyptienne, des legende et meme parfois des fait reel.
Aujourdui il trainaissait dans le coté artisanat, pour tout vous avouer le jeune prince a des doigts en or, il sais tout faire, ce qu'il aime faire c'est graver l'or pour en faire des bijoux. Justement son calier venait de ses propre main. Il avait le petit garcon dans ses bras un peu somnolant car c'etait leur de la sieste. Il vit quelque mettre plus loin un nobre de son pays qu'il n'a jamais rvaiment aprecier mais il avait ete obliger de le ramener avec lui et Charmion. Il posa l'enfant et ramassa une fois la jeune femme partit tout els morceau. Il regarda les degart; bon c'etait un peu catastrophique mais rien n'ai impossible pour le plus adorable des prince antique.
Il passa chez son ami et repara en detail tout les pot, puis il les mit tous dans une sorte de corbeille et il partit avec le eptit bout qui l'aidait a porter les quelques pots qui ne tenait pas dans la corbeille, il fit tout les artisanat jusqu'a trouver le bon. Il entra.
Bonjour venerable gens, je tiens a m'escuser jeune fille pour l'idiotie de ce noble, je pris la peine de reparer tout les degat de votre travail, je vous prit d'excuser la betise de cet homme.

Invité

Eirlys, espérant avoir semé le noble ou ses serviteurs qui devaient evidemment la poursuivre, s'était réfugiée dans l'échoppe de son employer, et, conformément à son franc parler habituel, lui avait tout expliqué. L'artisan, en colère, maugréa qu'elle devrait faire plus attention la prochaine fois, et qu'elle serait privée de manger pour sa punition. Ce n'était pas un homme mauvais, mais il tenait à se faire respecter de se faire respecter de ses esclaves, c'est pourquoi Eirlys ne lui en voulait pas. Et puis, elle était assez débrouillarde pour piquer dans l'assiette d'autres esclaves ou aller chiper un peu de nourriture.
Elle ne se formalisa donc pas, et, prudente, commença à reprendre son travail, quand un autre noble égyptien entra dans l'échoppe, déclamant haut et fort qu'il était désolé et qu'il voulait réparer les dégats. Ce n'était pourtant pas lui qui l'avait renversée. Eirlys le fixa farouchement, reculant légèrement.

-Eh bien esclave, s'écria le patron, agenouille toi devant ce noble homme qui te traite avec tant d'égards !
Réalisant qu'il avait plutôt raison, la jeune fille se jeta aux pieds du jeune homme, bien qu'il soit de son âge environ, et psalmodia très vite :

-Merci beaucoup seigneur.

L'artisan était réellement surpris qu'un ten jeune homme s'excuse auprès d'une vulgaire esclave galloise, éffrontée par dessus le marché.

En faite il avait deja tout reparer, tout etait comme neuf. Il fut legerement enerver de la reaction de cet artisant, quel honte, chez lui il n'y avait pas d'esclave, c'etait des courtisanes et des serviteur qui prenait un plaisir immense a s'ocuper de la famille royal, surtout qu'ils vivaient comme des veritable noble meme plus comme s'ils etaient de la famille royal.
Non jeune fille, relevez vous et vous cher artisant, on ne traite pas des jeune filles ainsi, c'est une être humain a la fin.
Il alla poser la corbeille et s'abaissa pour faire se relever doucement la jeune femme, lui n'etait pas comme certain prince, il faisait attention au peuple, meme quand il ne s'agissait pas du sien. Il savait qu'ici les escalve etaient des moins que rien mais il ne l'acceptait pas.Ce n'est pas un prince pour rien.

Invité

Eirlys, effarée, sentit le jeune homme la relever, et le regarda dans les yeux, tout en l'écoutant dire tout cela, qu'elle était humaine...Elle crut rêver. Jamais elle n'avait entendu quelqu'un parler ainsi. Pas même quelqu'un de basse condition, ni même sa famille...Et pourtant, c'était ainsi qu'elle pensait...
Comme c'était un ordre, elle se releva, et continua de fixer l'égyptien dans les yeux.

-Pardonnez-moi seigneur, dit poliment l'artisan

Eirlys, resta plantée là, ne sachant pas quoi faire. Elle décida que la meilleure chose à faire était de prendre les objets que le noble avait réparé pour elle. Ce qu'elle fit, en inclinant la tête en signe de respect. Elle alla poser le panier là où il convenait, puis elle revint ver le jeune homme, et lui demanda :

-Puis-je faire quelque chose pour vous ?

Le prince n'etait pas comme tout les autre, il etait comme sa mère, un souverain acharné qui prend soin de son peuple et de cleui des autres. D'un coté désormais il etait lié a Rome, etant en relation amoureuse avec le fils du grand Cesar, ce qui genait certain 'cetait que Cesarion etait a tout deux le demi frère, C'est vrai.
Vous n'avez absolument rien a vous faire pardonner
Il lui sourit avant de se retourner car Charmion etait a l'entrée, elle lui annonca que la reine, sa mère envoie son frère Cesarion a Rome afin qu'il voye un peu son père et elle rajouta qu'elle se soignait tout doucement et qu'elle sera bientot sur pied. Ca revelait quand meme une grosse chose, que Ptolémée n'etait pas un noble mais le prince d'Egypte, et surtout le prince qu regne avec sa mère et son frère vu que leur oncle le pharaon est incapable d'être serieux. La pretresse se retira de l'entrer pour retourner au palace. Ptolémée se retourna vers les artisant et la jeune femme.

Invité

Eirlys et le commerçant se figèrent. Le jeune homme venait de déclarer ouvertement qu'il était le prince héritier d'Egypte, Ptolémée VI, le fils de Cléopatre. Cette fois, ce fut au tour du patron, de s'agenouiller, et Eirlys de faire de même, suivant l'exemple, car ne sachant que faire en pareil cas.

-Esclave, va chercher de l'eau pour le prince, et un siège, je te prie !

La jeune fille s'exécuta après un hochement de tête, et s'empressa de verser de l'eau provenant d'une jarre dans une coupe, et d'apporter un tabouret en bois qui trainait dans l'atelier. Une fois cela fait, elle se posta debout près du prince, attendant qu'il lui donne un ordre, pour une fois très obéissante. Plus pour sa gentillesse et sa tolérance, que par le fait qu'il soit un prince, elle se sentait redevable envers ce jeune homme.

Il eut un petit rire en les voyant tous s'agenouiller il leur pria de se relever, qu'il n'avait pas a s'agenouiller ainsi, le petit etait amusé de voir tout se respect, il ne se doutait pas quand "sa nourrice" etait un grand prince de l'Orient. Quand on lui apporta un siege il sourit.
Merci mais tout ca n'est pas necessaire, je vous l'assure.
Il s'assya alors et prit le petit sur ses genoux, il n'avait pas seoif alors il offrit l'eau au petit qui en bu un peu. Le petit se polotonna contre le prince la on voyait bien qu'il n'etait aps un prince comme il autres, mais quelqu'un de très doux et affectif.
Je vous felicité pour vos produits, ils sont vraiment magnifique, nous en avont des semblable en Egyote.

Invité

Eirlys remarqua que le prince voulait se montrer, et était surement modeste et ne voulait pas s'encombrer de trop de faste et de luxe. Un homme simple surement, somme toute. Elle eut un sourire imperceptible passant sur son visage. Elle jeta un coup d'oeil au petit garçon que le prince avec elle, et se demanda s'il était son petit frère. Probablement pas, ils ne se ressemblaient pas.
Elle décida de se retirer dans un coin de la salle. Un esclave se devait d'être discret.
L'égyptien félicita l'artisan pour ses produits. Celui-ci rougit, et la jeune gauloise pouffa légèrement de rire.

-M...Merci beaucoup, prince.

Eirlys, elle, pensait que le jeune homme avait bien raison de féliciter son patron d'un jour. Ses poteries étaient belles et se vendaient bien d'ailleurs. Pour sa part, elel ne savait pas faire grand chose de ses mains à part tirer à l'arc et manier une épée, mais une femme ne pouvait pas montrer ces "talents" tout comme celui de monter à cheval. Elle était donc une empotée aux yeux de ses maitres et se disait que c'était tant pis.

Et non c'etait pas son petit frère ni meme son fils, de toute facon il etait orphelin de père, depuis trois ans donc le petit etait surement pas son petit frère et avec seulement 15ans, et aimant plutot les hommes c'est impossible que ce soit son fils. Le petit entama sa sieste sur les genoux de Ptolémée. Ptolémée n'aimait pas trop etre surproteger par tous a cause de son statut, il voulait qu'on le traite comme une personne normal voila pourquoi il demande de ne pas s'agenouiller.
Mais de rien, je suis sur qu'en decorant avec un peu d'or ca se vendra encore plus.

Invité

Eirlys se mit en retrait, remarquant que le commerçant discutait avec Ptolémée. De l'or sur les poteries ? Elle n'avait jamais vu ça. En gaule, l'or était réservé aux bijoux. Elle n'en avait d'ailleurs jamais paroté, elel aurait du hériter du collier de sa mère le jour de son mariage, malheureusement le destin en avait décidé autrement. Elle soupiura légerement en regardant le sol, puis entendit l'artisan dire :

-Oui, mais, vous savez, ce n'est qu'une petite échoppe...

Il avait l'air embêté. Scaevola ne put retenir un sourire.

Je le sais bien, c'est un simple conseil, chez nous tout est orné d'or et ca part comme des petits pains.
En effet quand on regarde le jeune prince on voit qu'il est tout orné d'or que son maquillage etait doré donc on comprend bien que chez les noble egyptien l'or etait quelque chose qui etait comme du sable auprès d'une plage. Il y en avait beaucoup en Egypte. Le petit garcon se deroula en commencant a se reveiller en s'etirant la petite sieste etait finit. Ptolémée le regarda en souriant, il trouvait ce bout de choux trop mignon.

Invité

Tandis que les deux hommes bavardaient entre eux, Eirlys remarqua que le petit garçon s'assoupissait. Elle sourit avec tendresse, et prit l'initiative d'aller chercher une natte tressée dans l'arrière boutique pour pouvoir le coucher dessus. Elle la déroula à coté de Ptolémée et tendit les bras pour prendre le petit. Elle le coucha doucement dessus, comme elle faisait autrefois avec son petit frère et ses petites soeurs.

-Esclave, retourne au marché pour les réapprovisioner en poterie, demanda le maitre doucement pour ne pas réveiller le garçonnet.

L'adolescente inclina la tête et alla remplir ses paniers avec divers pots et coupes en argile, puis sortit de la boutique, en saluant ses occupants.

» J'ai compris ce que tu as [ PV Ptolémée ]
» PTOLEMEE XVI ## ADMIN
» PTOLEMEE XVI ## ADMIN
» Est-ce que tout va bien ? [ Ptolémée ]
» Un miracle des dieux | Ptolémée